Dans un précédent article, nous avons évoqué les déterminants de la transition marche-course, et vice versa. Pour rappel, à plat, la transition marche-course présente peu de différences entre les sédentaires et les coureurs, et se situe entre 7 et 8 km/h.
Elle est essentiellement due à une nécessité d’économie de course, une donnée intégrée au niveau central, c’est-à-dire notre cerveau.
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