Cancer : l’activité physique vous protège de ~15%

En 2018, 18,1 millions de personnes dans le monde étaient diagnostiquées atteintes d’un cancer ; 9,6 millions en sont décédées - dont ~150 000 en France - faisant du cancer la 2nde cause de mortalité. Cet article vise à présenter au lecteur un regard actuel sur l’état de la relation cancer - activité physique (AP).


Force : quel déclin lié à l’âge et au sexe ?

Il nous attend tous, entraîné ou non, performant ou non, ambitieux ou non. Le déclin de performance est inéluctable avec les années. Qu’en est-il chez les hommes et les femmes sur une qualité physique comme la force ?

Votre postérieur vous remerciera

Nombre de magasins de vélo ou de spécialistes dans leurs studios d’études posturales sont confrontés à des demandes de clients ayant des désagréments au niveau du bassin lors de leur pratique cycliste.

Il n’est pas rare de constater, que la majorité des cyclistes continuent de rouler malgré ces douleurs, en se disant que cela fait partie de l’activité. Erreur, nul ne devrait pratiquer son activité favorite avec de telles gênes.
D’autres, ne supportant plus ces problèmes sont prêt à stopper leur pratique, partent en quête de « là » selle qui leur conviendra le mieux.

Nul reproche aux vendeurs dans les magasins de vélo mais il est vrai que la tendance est au conseil du choix des matériaux et très peu sont éveillés au choix d’une selle adaptée à la morphologie de la personne.
1 réaction

Cétones : une étude de plus… et toujours pas d’intérêt

Les composés cétoniques commencent à occuper le marché alors que leur intérêt sportif demeure inconsistant. Tandis que certains produits nutritionnels réussissent effectivement à apporter sur le tas la preuve de leur efficacité, la supplémentation en cétones reste aujourd’hui encore l’affaire d’une poignée d’études. Ce mois-ci, les résultats d’un nouveau protocole (parus dans Medicine and Science in Sports and Exercise) sont venus apportés de l’eau au moulin. 2 réactions



Vous écoutez-vous trop ?

La fatigue musculaire, les courbatures et les petites douleurs faisant suite à des séances d’entraînement particulièrement poussées sont-elles uniquement la conséquence des dommages musculaires provoqués ? Pas si l’on en croit les conclusions d’une récente étude. Il semble en effet que la dimension mentale jouera un grand rôle dans la tolérance à la douleur…

Dopage à Doha ?

Comme à chaque grand championnat, et ceci depuis plusieurs décennies, les mêmes questions vont se poser devant des performances exceptionnelles, des comportements trop dominateurs chez des sportifs depuis longtemps au premier plan ou, au contraire, l’apparition sur les podiums d’athlètes peu connus. Et devant la suspicion de dopage, les athlètes vont se défendre, comme depuis plusieurs décennies, en arguant du fait qu’ils ont été contrôlés à de nombreuses reprises dans l’année et que tous leurs contrôles sont revenus négatifs. Pour les observateurs et les spectateurs, qu’ils soient avertis ou simplement attentifs, la question pertinente de la crédibilité des contrôles antidopage va se poser. Les analyses sanguines, à travers le suivi biologique longitudinal et le passeport biologique de l’athlète, sont le plus souvent présentées comme « le fer de lance » de la lutte contre les tricheurs. Sur ce sujet précis, peut-on encore croire les organismes de lutte contre le dopage ? Pour mieux comprendre le suivi biologique et son évolution, voici quelques éléments historiques et techniques.

Surmenage ou dépassement de soi : comment distinguer ?

Il est intuitif de penser que le surmenage est avant tout révélé par un changement dans le niveau de performance du sportif : qui ne peut soutenir la séance prévue est alors un profil possiblement surmené. Effectivement, cela fait partie des repères de choix autant dans les laboratoires de sport que sur le terrain.

Courir, c’est dans les tripes !

Le point de côté survient souvent de façon anodine et met clairement un frein à notre confort. On parvient à le réduire de façon plus ou moins rapide en contrôlant la ventilation et/ou en réduisant l’allure.
Idem, les douleurs à l’estomac peuvent survenir à l’effort. Si leurs causes sont davantage liées aux aliments ingérés (dose / timing / concentration en glucides), elles aussi peuvent se dissiper après quelques minutes d’effort.
En revanche, un autre problème de douleur au ventre, moins ponctuel et plus profond celui-là, peut radicalement nous empêcher de nous entraîner. Et pas seulement à l’échelle d’une séance… À l’échelle de tout un programme d’entraînement !
5 réactions

Musculation et période de chaleur

Alors qu’au fil des années les chaleurs d’été deviennent particulièrement longues et éprouvantes, elles ne sont pas sans effet sur notre niveau d’endurance. D’un point de vue physiologique, la montée en température du corps à l’exercice entraîne une sollicitation cardiaque et énergétique supérieure, et compromet VO2max. D’un point de vue extérieur, elle dégrade les performances des traileurs, runners et cyclistes d’endurance.
2 réactions


Comment votre corps apprend à mieux transpirer

On entend des gens dire « Je suis en nage ! Je manque vraiment d’entraînement… ». Et d’autres qui, au moindre effort, rougissent comme une tomate. Mais avez-vous remarqué que ces deux phénomènes (être rouge tomate, et suer abondamment) ne se manifestaient pas ensemble ? La raison est simple : ils s’inhibent l’un l’autre.

Activité physique, temps assis et mortalité : prenez soin de vous !

Pour donner du crédit à l’activité physique, on parle souvent de choses complexes (la physiologie du cœur, du cerveau…). Pour discréditer son opposé, la sédentarité, il en est de même (ostéoporose, inactivité enzymatique…). Si l’on prend du recul sur ces explications complexes pour observer plus simplement des statistiques sur la mortalité – ce qui nous parle à tous, il faut l’avouer – le message reste tout aussi limpide et gagne même en impact. Principe d’ergonomie.