Championnat du Monde de 24h : 24 heures pour un record !
24 heures en courant pour parcourir le maximum de distance.
Énoncé ainsi, l’exercice est clair et simple. Et il l’est. Mais ce qui l’est moins, c’est l’approche mentale de l’exercice. Habituellement une course se termine sur la ligne d’arrivée, ici cette ligne d’arrivée n’existe pas. C’est à chacun d’aller la fixer. De la repousser le plus possible pour au final engranger la distance la plus importante. La performance ici c’est la distance réalisée et non le temps mis. Et là, l’exercice est plus difficile. Car malgré la douleur, malgré la difficulté, il faut aller coûte que coûte de l’avant. Ne jamais s’arrêter. Toujours progresser.
C’est à ce moment que la force mentale s’exprime. Ignorer les alertes envoyées par le cerveau à ses muscles. Repousser son seuil de douleur. Il n’y a pas de limite. « La seule limite, c’est celle qu’on se donne ! ». C’est le moment où chacun d’entre nous juge que la souffrance n’est plus supportable.
Énoncé ainsi, l’exercice est clair et simple. Et il l’est. Mais ce qui l’est moins, c’est l’approche mentale de l’exercice. Habituellement une course se termine sur la ligne d’arrivée, ici cette ligne d’arrivée n’existe pas. C’est à chacun d’aller la fixer. De la repousser le plus possible pour au final engranger la distance la plus importante. La performance ici c’est la distance réalisée et non le temps mis. Et là, l’exercice est plus difficile. Car malgré la douleur, malgré la difficulté, il faut aller coûte que coûte de l’avant. Ne jamais s’arrêter. Toujours progresser.
C’est à ce moment que la force mentale s’exprime. Ignorer les alertes envoyées par le cerveau à ses muscles. Repousser son seuil de douleur. Il n’y a pas de limite. « La seule limite, c’est celle qu’on se donne ! ». C’est le moment où chacun d’entre nous juge que la souffrance n’est plus supportable.