La vitesse ajustée selon la pente

En trail, la relation vitesse-intensité est complexe. Même sur le plat, quand le terrain devient irrégulier, il est difficile de conserver sa vitesse initiale sans devoir accélérer.
En montée, la vitesse chute rapidement en fonction de la pente mais aussi de la technicité. Quant à la descente, c’est un secteur où aucune règle ne semble s’appliquer.


VMA Ascensionnelle : Quels Tests ?

En trail, la capacité à bien monter est déterminante car le temps de montée représente généralement plus de la moitié du temps de course. Et si la puissance aérobie à plat (la fameuse Vitesse Maximale Aérobie ou VMA) est reconnue désormais comme un facteur de performance nécessaire en trail, c’est le cas également en montée où l’on parle de vitesse maximale aérobie ascensionnelle (VMA asc). Il est donc important d’être en mesure de l’évaluer afin éventuellement de la comparer avec celle des autres, mais surtout pour évaluer ses propres progrès.
Mais voilà, il n’y a qu’un seul plat et une multitude de montées. Il est donc facile d’évaluer la VMA à plat par un test incrémental, voire un demi-Cooper ou un 5mn à vitesse régulière et maximale. C’est bien plus difficile en montée car tous les pourcentages et toutes les technicités se rencontrent en trail. Alors comment faire ?
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VMA Ascensionnelle : Définition et évaluations

Le trail, c’est de la course à pied technique en 3D. Aux qualités de coureurs, généralement attestées par des tests de VMA, de fraction de VO2max et de coût énergétique, doivent s’ajouter des qualités de grimpeur et de descendeur. Si la réussite en descente est tributaire de qualités musculaires, techniques et psychologiques, il semble que la montée s’en tienne aux qualités physiologiques du traileur. Alors comment s’évaluer en montée ? 4 réactions