Musculation et running : plus que de la force

Le renforcement musculaire est souvent vanté pour ses bénéfices "quantitatifs" : en étant plus fort, le coureur repousse la fatigue. Certes.
Mais d’autres mécanismes "qualitatifs" ne devraient pas être écartés : en étant mieux coordonné, le coureur repousse aussi la fatigue. 1 réaction

Musculation : essayez d’autres formes de travail !

L’isométrie est un régime musculaire, au même titre que les régimes excentrique, concentrique et pliométrique. Le régime isométrique peut se définir comme une contraction musculaire pendant laquelle les points d’insertion ne bougent pas (ni ne s’éloignent, ni ne se raccourcissent) : le principe de base consiste à maintenir une position dans une angulation précise, correspondant à la phase particulière d’un mouvement. La contraction isométrique est utilisée dans les programmations d’entrainement pour gagner en force maximale (recrutement maximum des unités motrices) sans pour autant prendre en masse musculaire. Elle est par ailleurs utilisée pour des sujets dont les mouvements articulaires sont à proscrire ou impossibles à réaliser selon leur pathologie.

Musculation et vieillesse : quelle méthode pour progresser ?

Il n’est pas évident de démarrer un plan d’entraînement dont on ignore les effets à venir sur son corps, même si celui-ci est censé être personnalisé. Cela, d’autant plus lorsque l’on est âgé : la peur de se blesser, de ne pas supporter le rythme imposé, freine l’engagement initial ainsi que l’adhésion durable à l’activité. Dans cette logique, un article scientifique paru ce mois vient promouvoir l’écoute de soi pour le travail de renforcement musculaire chez les séniors.

Musculation et période de chaleur

Alors qu’au fil des années les chaleurs d’été deviennent particulièrement longues et éprouvantes, elles ne sont pas sans effet sur notre niveau d’endurance. D’un point de vue physiologique, la montée en température du corps à l’exercice entraîne une sollicitation cardiaque et énergétique supérieure, et compromet VO2max. D’un point de vue extérieur, elle dégrade les performances des traileurs, runners et cyclistes d’endurance.
2 réactions

Renforcement musculaire & endurance : amis ou ennemis ?

Alors qu’elle ravit les adeptes du muscle, elle effraie aussi beaucoup de sportifs d’endurance – dont vous, peut-être… La musculation reste engluée, en effet, dans ce « Culte du corps » qu’elle autorise certes, mais qu’elle ne vise pas exclusivement. Tout comme des séances de running à haute et basse intensité entraînent différents effets physiologiques, une pratique raisonnée de la musculation peut s’avérer propice pour les sports d’endurance. Voyons comment.


Musculation lourde et trail : les règles préalables

La force est rentrée incontestablement dans les modèles de performance du trail court à l’ultra, même si force et endurance ont longtemps été opposées. Comme tout facteur de performance, il faut veiller à son développement et à son optimisation. En trail, on peut développer la force de manière ultra spécifique, c’est-à-dire sur le terrain où l’on peut passer d’un mode de contraction exclusif en montée (concentrique) à un autre mode exclusif en descente (excentrique). Mais on peut aussi le développer en salle, avec ou sans appareillage. Par manque de connaissances, beaucoup se lancent dans la musculation lourde sans respecter les principes de base et sans déterminer d’objectifs précis en lien avec leur activité de traileur. . Voici quelques règles à suivre au préalable qui feront écho à notre premier article sur la question.


Musculation en cyclisme : conseils pratiques

On le sait aujourd’hui, la musculation peut avoir des effets très efficaces sur la performance en cyclisme. Mais comment s’y prendre ? Quelles séances faire ? Voici 2 exemples de sessions à réaliser en salle.








Protéines et Entraînement : les dernières recommandations (Partie 2)

La Société Internationale en Nutrition Sportive a récemment délivré son avis critique – revue de littérature, positionnement et recommandations – quant à l'ingestion de protéines chez des personnes sportives saines. Dans une première partie, nous vous présentions les grandes lignes de cet avis critique. Celles-ci apportaient une base nécessaire à qui souhaite optimiser les effets de son entraînement via des apports protéiques spécifiques. Dans le présent article, nous descendons d’un niveau d’analyse, puisque sont appréhendées plus en détails ces « règles d’or » de la protéine, profitables au sportif d’endurance comme de musculation.



Gainage : des exercices différents mais…efficaces !

Comme je le souligne souvent, il existe tout près de nous des exercices faciles à mettre en place et très intéressants du point de vue de la préparation physique. Ici, nous nous intéresserons une fois de plus au gainage. La plupart des gens pensent que le travail de gainage ne concerne que « le ventre », « les abdos », « les dorsaux » alors qu’il devrait s’adresser à toutes les articulations du corps.
1 réaction