Très souvent nous ne regardons la préparation que par un seul ou quelques prismes. Et ces approches seront souvent physiologiques : « Je souhaite me faire la caisse », « Je veux augmenter ma VMA », etc. D’autres fois nous la couplerons avec une dominante disciplinaire « Il faut que je bosse mon spécifique ». D’autres fois, la prise de recul sera plus large et pourra prendre en compte des aspects techniques, musculaires, tactiques. Enfin, certains iront encore plus loin que l’entraînement ‘visible’ et ajouteront un autre type de préparation en prenant en compte des éléments comme la nutrition ou la récupération.
L’idée de cet article nous a été inspiré de réflexions comme « Il avait plus faim que les autres », « Il avait la ‘dalle’ », « Il a joué sa vie », etc. Il serait donc possible dans le sport d’être meilleur sans que ce ne soit lié qu’à des aspects très mesurables comme les modalités d’entraînement physico-technique ou à l’investissement au quotidien ? Nous allons toucher à un élément plus impalpable et pourtant primordial à la performance : le MENTAL.
1 réaction