C’est quoi un bon coach ? (3/3)

Dans le monde de l’entraînement, le détail règne en maître. S’il suffisait alors au coach de « peser » ces différents détails pour en appréhender leurs effets sur la performance, cela se saurait. Un jeu d’additions et de soustractions suffirait… Au contraire, l’attitude à adopter vis-à-vis d’un athlète reste difficile à déterminer. Voici le dernier article d’une série de trois, dont l’idée est d’objectiver/encourager certains principes d’efficacité propres à toute intervention de performance sportive.

C’est quoi un bon coach ? (2/3)

Dans le monde de l’entraînement, le détail règne en maître. S’il suffisait alors au coach de « peser » ces différents détails pour en appréhender leurs effets sur la performance, cela se saurait. Un jeu d’additions et de soustractions suffirait… Au contraire, l’attitude à adopter vis-à-vis d’un athlète reste difficile à déterminer. Voici le second article d’une série de trois, dont l’idée est d’objectiver/encourager certains principes d’efficacité propres à toute intervention de performance sportive.

C’est quoi un bon coach ? (1/3)

Dans le monde de l’entraînement, le détail règne en maître. Ce n’est pas pour rien, en effet, que l’on s’intéresse au programme de l’athlète (distance, volume, etc.) autant qu’à la manière dont il y répond (fréquence cardiaque, ressenti, etc.) ou encore à son quotidien (qualité de vie, sommeil, etc.). S’il suffisait alors au coach de « peser » ces différents détails pour en appréhender leurs effets sur la performance, cela se saurait. Un jeu d’additions et de soustractions suffirait… Au contraire, l’attitude à adopter vis-à-vis d’un athlète reste difficile à déterminer. Voici donc une série de trois articles dont l’idée est d’objectiver/encourager certains principes d’efficacité propres à toute intervention de performance sportive.

Performant mais imparfait : comment réapprendre le bon geste ?

Une volée de questions se lève spontanément chez le coach qui porte un œil intéressé au langage corporel de son athlète. Parmi elles, la problématique d’ « Analysis paralysis » est peut-être la plus subtile. Subtile, car elle fait référence à la fameuse conscientisation handicapante de la technique que le sportif peut manifester dans les moments importants – qui peuvent autant être ceux d’un shoot à ne pas manquer que d’une course à maîtriser.

Les sports collectifs ont aussi droit à leur affûtage !

Une fois n’est pas coutume, Lepape-info a choisi de ne pas parler de sports d’endurance, mais de sports collectifs ! En effet, une récente étude scientifique nous a alerté. Celle-ci avait pour objectif de tester l’intérêt d’une période d’affûtage pour des athlètes de sports collectifs. Lepape, 1er sur l’info, vous propose de décrypter ces résultats avec son expert Anaël AUBRY.

La relation Entraîneur – Entraîné en cyclisme

Les échanges entre l’entraîneur et le coureur sont souvent placés au centre de la performance. Une bonne collaboration entre les deux parties permettrait de hausser le niveau de l’athlète. Nous allons donc nous questionner sur les fondements d’une relation entraîneur – entraîné efficace en cyclisme.



Pourquoi faire appel aux services d’un entraîneur ?

Cyclisme : Pourquoi faire appel aux services d’un entraîneur ?

Sur la toile, le nombre d’entraîneur proposant leurs services est de plus en plus important. Du plan de base sans retour au suivi de proximité, la diversité des offres est très importante. David Giraud, notre expert cyclisme, vous explique pourquoi et sous quelles conditions, il considère « essentiel » le rôle de l’entraîneur dans l’atteinte du niveau de performance maximale de chaque compétiteur selon ses moyens intrinsèques et extrinsèques.