Toutes les activités physiques et/ou sportives sont recommandées car source de bonne santé physique et de bien-être psychologique.
Plusieurs conditions sont requises :
- une parfaite condition physique du pratiquant qui justifie, tous les ans, une vraie visite médicale complétée par d’éventuelles explorations complémentaires cardio-vasculaires ou autres selon les résultats du dit examen,
- une bonne technique, selon les disciplines,
- un matériel adapté, choisi avec l’aide d’un technicien compétent pour la pratique choisie,
- des conseils d’entraînement et plus généralement de « bonne pratique », …
La pratique du vélo, conseillée à tous les âges car peu traumatisante pour les articulations portantes ne déroge pas à ces règles. Un vélo mal adapté, des équipements de mauvaise qualité (chaussures, vêtements), une mauvaise position, l’absence de conseils de pratique seront autant de conditions prédisposant à des désagréments.
Une mauvaise condition physique peu être un facteur favorisant de complications cardio-vasculaires (première cause de décès chez les cyclotouristes).
Un vélo mal adapté et/ou une mauvaise position peuvent être responsables de douleurs cervicales, plus rarement de lombalgies, de douleurs thoraciques, des genoux, des épaules, de fourmillements ou de sensations d’engourdissement des mains (compressions neurologiques)…
Un cuissard de mauvaise qualité une selle inappropriée seront responsables de maux du séant (irritation, infections, bursite, …).
Enfin une mauvaise connaissance de la pratique cycliste sera responsable de l’arrêt de cette pratique du fait de l’absence de plaisir pour un sport très contraignant et très exigeant.
1 réaction à cet article
strehl christine
fourmillements et position fléchie de l’annulaire et du petit doigt de la main droite après 15 jours de cyclotourisme en montagne , notamment après 3 jours continus de descente en Chine, loin de centres médicaux.
Est-ce du à une compression du nerf cubital, liée à une hyper extension du poignet et à l’utilisation continue du frein? jours sans vélo ne changent rien au problème. Y a t il de possibles séquelles nerveuses, étant donné qu’il n’est pas possible d’ arrêter le vélo?
Merci de votre réponse