Bonjour,
Après un second marathon (Paris) en 3h53, je m’interroge sur les sorties longues que j’ai effectuées à la fréquence d’endurance, donc moins vite que la fréquence marathon. J’ai compris que courir à la fréquence d’endurance nous entraine à utiliser les lipides comme énergie pour préserver le glycogène. Mais voilà, quand est venu le temps du marathon, je ne cours plus à la vitesse d’endurance ! et donc je consomme du glycogène.
J’ai tenu jusqu’au 25ième à la vitesse marathon et ensuite, sans prendre le mur, mes jambes m’ont obligé à réduite ma vitesse
Alors ne faut-il pas effectuer des séances longues à vitesse marathon ?
Phil
56 ans, 2 années de course, 4 sorties par semaine durant les 10 semaines de préparation, marathon : 3:53, semi : 1:49