Voici donc quelques exemples pour « manger perdant » ! Malheureusement, ces situations sont trop souvent rencontrées dans les pelotons. A ne pas suivre !
- Commencer un régime amaigrissant une semaine avant la course.
- Ne pas s’offrir les indispensables assiettées de féculents pendant les jours précédant une longue épreuve.
- Privilégier des crudités, bien riches en fibres, des aliments qui fermentent (choux) ou qui provoquent des flatulences (flageolets, lentilles,…) en guise de dernier repas avant la compétition.
- Vider la corbeille de viennoiseries lors du petit déjeuner le jour de la course.
- Opter pour un plat riche en matières grasses, type fritures, fromages fondus, trois heures avant de monter au départ (problèmes digestifs presque assurés).
- Manger juste avant l’effort sous prétexte que l’on va se dépenser.
- Boire un soda ou une boisson énergisante très riche en sucre, acide et pauvre en sodium avant ou pendant l’épreuve.
- Boire tardivement, au moment où les sensations de soif commencent à se faire sentir.
- Ne pas se ravitailler lors d’efforts de plus de 90 minutes.
- Préparer des boissons de l’effort aux mauvaises concentrations
Allez, bonne course !
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1 réaction à cet article
Rémi
Bravo tout est dit !
Le coca, quelle abération… je ne comprends toujours pas pourquoi on en trouve autant aux ravitaillements.
Alors que l’eau gazeuse est tellement faite pour ça.