Ultra-endurance : l’intérêt du travail en pré-fatigue

Dès lors qu'une épreuve se court sur plusieurs heures, ce travail fait sens puisqu'il part d'un constat mesuré par les triathlètes après le vélo, en trail lors d’un changement de dénivelé, ou encore lors d'épreuves de plusieurs jours. Ce constat, c'est celui que les jambes paraissent si lourdes qu'une motricité normale demeure inenvisageable. La vitesse de course baisse donc, et avec elle la performance. Alors que cette sensation semble ici s'apparenter à une "surprise" pour l'athlète, en réalité c'est loin d'être le cas.
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Moins de 2h au Marathon ? Théoriquement envisageable !

Depuis le passage sous les 2h03’ de Denis Kimetto en 2014 à Berlin (2h02’57), la sphère running s’est mise à rêver d’un potentiel passage sous une barrière des 2 heures. Deux semi sous l’heure, INCROYABLE ! Certains répondront utopiques, arguments défendables à l’appui. D’autres plus rêveurs cherchent des solutions, comme le fameux projet Nike. 3 réactions

Une mère célibataire court un 500 kilomètres et va travailler le lendemain.

Je ne vous connais pas, mais moi, après un Marathon ou un Trail, j’aime bien prendre un jour de repos. Je m’allonge sur le canapé et je dors le lendemain, constatant la douleur et la raideur de mes muscles. Conséquences normales de mon effort de la veille. Après avoir couru des 42 km, je pense que c’est normal de prendre un petit break ou au moins quelques heures pour se reposer et récupérer. Vous êtes d’accord ? 2 réactions