Dès lors qu'une épreuve se court sur plusieurs heures, ce travail fait sens puisqu'il part d'un constat mesuré par les triathlètes après le vélo, en trail lors d’un changement de dénivelé, ou encore lors d'épreuves de plusieurs jours. Ce constat, c'est celui que les jambes paraissent si lourdes qu'une motricité normale demeure inenvisageable. La vitesse de course baisse donc, et avec elle la performance. Alors que cette sensation semble ici s'apparenter à une "surprise" pour l'athlète, en réalité c'est loin d'être le cas.
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