Vitamine D : l’hiver suppose-t-il une supplémentation pour le sportif ?

Lorsque l’on discute de cette vitamine, on pense au soleil et ses rayons UVB qui en représentent la source majeure pour l’organisme. On pense aussi à l’hiver pendant lequel le manque d’ensoleillement en entraîne des insuffisances, et au sportif, dont la performance pourrait en être affectée. Ces idées suscitent naturellement des recommandations, celle d’une supplémentation en vitamine D en faisant partie. Recommandation légitime… ?


Tête de noeud : quand la fatigue emmêle les neurones

Parfois, on refuse l’idée même de l’effort lorsqu’elle nous traverse. Une sortie improvisée, une aide spontanée… À peine conscientisée et déjà rejetée ! Cela arrive quand on se démène dans les séances d’entraînement d’un plan qui nous dépasse en réalité. Cela arrive aussi de façon plus commune après une journée de travail délicate. Deux scénarios bien différents. Et pourtant, si on analyse leurs conséquences respectives sur le sportif, on note des similitudes intéressantes.

Immunité du sportif : 3 astuces pour mieux passer l’hiver

Si nos étés deviennent de plus en plus chauds, les hivers continuent d’atteindre des températures basses difficiles à supporter. Il ne suffit pas en effet de se dire que, puisque tombe moins la neige au fil des saisons, on tombe aussi moins malade. Le risque infectieux est amplifié l’hiver, c’est connu, mais il l’est encore plus chez le sportif…

C’est quoi un bon coach ? (3/3)

Dans le monde de l’entraînement, le détail règne en maître. S’il suffisait alors au coach de « peser » ces différents détails pour en appréhender leurs effets sur la performance, cela se saurait. Un jeu d’additions et de soustractions suffirait… Au contraire, l’attitude à adopter vis-à-vis d’un athlète reste difficile à déterminer. Voici le dernier article d’une série de trois, dont l’idée est d’objectiver/encourager certains principes d’efficacité propres à toute intervention de performance sportive.

C’est quoi un bon coach ? (2/3)

Dans le monde de l’entraînement, le détail règne en maître. S’il suffisait alors au coach de « peser » ces différents détails pour en appréhender leurs effets sur la performance, cela se saurait. Un jeu d’additions et de soustractions suffirait… Au contraire, l’attitude à adopter vis-à-vis d’un athlète reste difficile à déterminer. Voici le second article d’une série de trois, dont l’idée est d’objectiver/encourager certains principes d’efficacité propres à toute intervention de performance sportive.

C’est quoi un bon coach ? (1/3)

Dans le monde de l’entraînement, le détail règne en maître. Ce n’est pas pour rien, en effet, que l’on s’intéresse au programme de l’athlète (distance, volume, etc.) autant qu’à la manière dont il y répond (fréquence cardiaque, ressenti, etc.) ou encore à son quotidien (qualité de vie, sommeil, etc.). S’il suffisait alors au coach de « peser » ces différents détails pour en appréhender leurs effets sur la performance, cela se saurait. Un jeu d’additions et de soustractions suffirait… Au contraire, l’attitude à adopter vis-à-vis d’un athlète reste difficile à déterminer. Voici donc une série de trois articles dont l’idée est d’objectiver/encourager certains principes d’efficacité propres à toute intervention de performance sportive.