Chaleur : comment optimiser nos stratégies de cooling ?

On recommande souvent – si ce n’est toujours – d’expérimenter une stratégie de compétition de façon précoce, durant les semaines d’entraînement qui la précèdent.
Nous sommes donc actuellement en phase idéale pour s’adonner à quelques essais avant l’arrivée des prochaines vagues de chaleur et de leurs effets sur la baisse des performances.

Chaleur : Acclimatez-vous toujours deux fois

Face aux vagues de chaleur d’été, le sportif n’a que peu d’options s’il souhaite performer. L’acclimatation est la meilleure d’entre elles, comme le relayent de plus en plus de conseils.
Toutefois, ce que l’on sait moins, c’est qu’en chaleur chacun réagit à son rythme et qu’une deuxième acclimatation bénéficiera toujours d’une acclimatation préalable. Voici pourquoi.

Course à pied, ambiance chaude et troubles intestinaux

Le coureur à pied est connu pour être particulièrement exposé aux troubles gastro-intestinaux (TGI). Ceci, notamment pour des raisons d’impacts répétés au sol et de moindre perfusion sanguine de l’intestin.
Quid de l’effet supplémentaire de la chaleur ambiante connue elle aussi pour altérer la perfusion sanguine et des stratégies de prévention ?

JO de Tokyo : les stratégies pour rester frais et leur effet sur la performance

En 2015, les championnats du monde d’athlétisme à Pékin (Chine) révélaient que seulement 1 athlète sur 2 avait adopté une stratégie de refroidissement malgré les conditions ambiantes difficiles.
Le « niveau de stress » thermique aux prochains Jeux olympiques replace aujourd’hui au cœur des méthodes de préparation ces (bientôt) fameuses stratégies de « cooling ».

Mieux récupérer après une séance par temps chaud

S’entraîner sous la chaleur est une situation qui devient de plus en plus volontaire de la part des sportifs, en tant que stratégie d’amélioration de leurs performances.
Néanmoins, pour que les planètes s’alignent correctement, la récupération après de telles séances doit aussi être réussie.


Hygiène buccale : plus fort grâce une bouche saine

Chez les sportifs entraînés – et les athlètes de haut niveau en particulier – une mauvaise santé bucco-dentaire est systématiquement associée à des impacts sur la performance.
Et pourtant, cette situation existe en dépit de l’existence de stratégies efficaces et peu coûteuses comme l’alternance d’eau-boisson d’effort, le choix du dentifrice.

Bien dans sa tête, bien dans sa perf : le soutien du CIO aux athlètes

Le Comité International Olympique (CI0) en fait l’un de ses chevaux de bataille. Le bien-être psychologique n’est effectivement pas une mince affaire pour des sportifs élites soumis quotidiennement à de multiples tensions (alimentation, blessure, carrière, fatigue, etc.).
Pour répondre à cette problématique, un consensus a donc été récemment publié. Suivez le guide.


Le b.a.-ba des ischios blessés

Après une coupure totale ou partielle d’entraînement (typique du post-confinement), les principaux groupes musculaires impliqués dans la course à pied se retrouvent exposés à un risque accru de blessure.
Quid du groupe des ischio-jambiers : quels types de blessure, quelles rééducations ? Explications et infographie.

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La marche rapide est-elle une solution contre l’inactivité ?

Lorsqu’il s’agit de « bouger », beaucoup prennent peur en songeant effort, sueur, compétition. Que nenni !
L’on n’y pense guère en tant qu’activité « physique », mais mettre un pied devant l’autre est en fait aussi banal que mobilisant. Voyons comment cette action anodine peut changer une vie.

mal de dos

10 mythes VS 10 faits à connaître sur le mal de dos

Dans cet article et les infographies associées, l’objectif est de mettre à terre une croyance populaire consistant à diaboliser le mouvement dès lors qu’une douleur en bas du dos survient (ou lombalgie).
Pourquoi ? Car c’est précisément la posture inverse qu’il s’agirait d’adopter. Explications. 2 réactions

Musculation et running : plus que de la force

Le renforcement musculaire est souvent vanté pour ses bénéfices "quantitatifs" : en étant plus fort, le coureur repousse la fatigue. Certes.
Mais d’autres mécanismes "qualitatifs" ne devraient pas être écartés : en étant mieux coordonné, le coureur repousse aussi la fatigue. 1 réaction

4 mythes sur la charge d’entraînement

Plus un sujet est populaire, plus il est exposé à un risque de biais dans son appropriation. C’est le cas de la charge d’entraînement, véritable pierre angulaire de tout autre sujet d’entraînement.
Augmentation de la charge, probabilité de blessure, notions de risque et de sécurité… une publication récente a tiré au clair quelques-uns des mythes les plus importants sur la question.


La performance des femmes est-elle meilleure grâce à la testostérone ?

Actuellement, la question de l’hyperandrogénie divise. Avec la performance en toile de fond, certains se réfèrent à l’éthique du sport quand d’autres en appellent à la science, ou autres.
Il y a quelques mois, la toute première étude de haute qualité évaluant l’effet de causalité entre la testostérone et la performance des femmes a été publiée. Qu’a-t-elle montré ?

Marathon de Paris 2014 départ handisport

Adultes handicapés : pratiquez, pratiquez, pratiquez !

Si le handicap physique peut prendre différentes formes, faire fonctionner le corps et ses organes demeure (autant que faire se peut) une nécessité absolue.
Comme pour les adultes non handicapés, l’exercice reste effectivement une forme de stress physiologique dont les conséquences s’avèrent largement bénéfiques pour la santé.

Lésion du ligament croisé antérieur : les dernières recommandations

De l’immobilisation à l’activation, de l’opération à l’absence de chirurgie… Les mœurs évoluent aujourd’hui sur les actions à conduire face à une lésion du ligament croisé antérieur (LCA). Pour aider le sportif à se situer dans tout cela, nous allons vous proposer sous forme d'infographie l'étude de 2 chercheurs australiens invitant à la prise de décision « partagée ».

La claudication intermittente : marcher pour aller mieux

Douleurs aux jambes pour cause de mauvaise vascularisation ? Si vous êtes concerné, alors le terme de ‘claudication’ ne vous est pas étranger.
Ici comme ailleurs, l’exercice physique ne se positionne pas seulement en prévention : il est aussi recommandé en thérapie.


Microbiote : sans tripes, pas de performance

On appréhende souvent son rôle lorsque les choses vont mal : crampe d’estomac, diarrhées à l’effort… Pas avant (ou peu). Pourtant, le rôle du tractus gastro-intestinal est fondamental non seulement dans le niveau de santé du sportif, mais aussi sa performance.

Déprimé(e) ? Oubliez Netflix, partez courir

Pourquoi faire de l’activité physique (AP) en situation de perte d’estime de soi, de confiance et d’apathie ? Ou plutôt… pourquoi pas ?
Avant même les médicaments, l’option automatique devrait effectivement être comportementale. Cela tombe bien car contre les symptômes dépressifs l’exercice a de bons arguments à faire valoir !