Féculent, un « moulin glucidique »
Le repas doit être suffisamment riche en glucides complexes (55 à 60% de la ration calorique) : un principe diététique qui s’applique d’autant plus si votre temps sur cette distance dépasse une heure ou si vous êtes un jogger occasionnel.
Privilégiez des recettes connues :
- Plat principal : les pâtes bien sûr, mais aussi pommes de terre, riz, quinoa…
- Dessert (si encore faim) : riz ou semoule au lait, crêpe, tarte aux fruits…
Le coureur entraîné peut s’octroyer une assiette plus modérée en féculents. Ses réserves glycogéniques ne sont pas entièrement mobilisées si le chrono est meilleur. Attention, même si l’entraînement régulier permet d’améliorer l’efficacité du métabolisme énergétique, n’allons pas croire que le sportif confirmé ne doit plus être attentif à la qualité alimentaire de ses repas.
Matières grasses et crudités, de la mesure
C’est la dernière ligne droite alimentaire, que le repas soit digeste ! Intestins sensibles :
- Supprimez les aliments riches en fibres (légumes secs, crudités, fruits crus…)
- Évitez les plats gras et de pauvre densité nutritionnelle (fast food, fritures…)
L’eau, toujours prioritaire
Qu’elle soit du robinet, de source ou minérale, peu importe ! Il faut boire.
Un déjeuner pour l’exemple
Betterave rouge et sa vinaigrette
Flétan sauce au beurre – Riz basmati
Faisselle au miel
Pomme cuite
1 réaction à cet article
Lilou
Bref…Il faut boire