Gare aux régimes trop restrictifs

Couple infernal : morale et restriction

Poissons et légumes  considérés « moraux » sont présentés comme des promesses-minceur. Et que penser de ces régimes de famine trop pauvres en matières grasses ? Attractifs, ils s’éternisent sans résoudre les problèmes de surcharge adipeuse.

Grand art minimaliste !

Un régime pauvre en féculents et/ou en légumes secs n’est pas sans inconvénients. Les privations sévères affaiblissent. Le corps supporte moins bien les entraînements. Se bourrer de fruits et légumes, sous prétexte qu’ils sont peu caloriques, ne permet pas d’assurer les besoins énergétiques et plastiques des muscles qui finissent par s’abimer. Les glucides complexes (présents dans les féculents et légumes secs) fournissent des calories mais c’est aussi grâce à eux que les muscles se construisent.

Faire la chasse aux graisses est aussi néfaste pour la santé. Beurre, huiles apportent certes de l’énergie mais aussi des micronutriments indispensables, telles les vitamines. Les supprimer empêche votre métabolisme musculaire de bien fonctionner.

Maigre satisfaction

La restriction alimentaire drastique n’est pas le garant d’une perte de masse grasse. Engloutir des légumes ne suffit pas. Ils vous évitent de culpabiliser mais si votre consommation calorique totale reste supérieure à vos besoins, les réserves adipeuses ne peuvent pas diminuer. Un bilan diététique vous y aiderait !

Et vous qu’avez vous tenté pour perdre du poids ?

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